lundi 29 juillet 2013

Sainte Ecriture et Tradition

Le pape François a exprimé son attachement au plein respect de la tradition de l'Eglise, seule habilitée selon lui à interpréter correctement les écritures, rejetant "l'interprétation subjective" de celles-ci, dans son premier discours devant la commission biblique du Vatican.
Dans cette intervention devant des "experts" --et non cette fois devant de simples fidèles, comme la plupart des discours du mois écoulé--, le pape jésuite s'est référé longuement pour la première fois à un texte du Concile Vatican II (1962/65), la constitution "Dei Verbum" ("le Verbe de Dieu") sur le rôle de l'Eglise. 

Jusqu'à présent, contrairement à Benoît XVI, il avait très peu mentionné le Concile auquel il est le premier pape des dernières décennies à n'avoir pas participé. Cette omission avait surpris. 

"Une unité indissoluble entre Sainte Ecriture et Tradition"
"Le Concile, a-t-il martelé de sa voix douce, l'a rappelé avec une grande clarté: tout ce qui concerne le mode d'interprétation des écritures est soumis en dernière instance au jugement de l'Eglise, laquelle accomplit son mandat divin et le ministère de conserver et interpréter la parole de Dieu". 

Pour le pape argentin, "il existe une unité indissoluble entre Sainte Ecriture et Tradition", qui sont "conjointes et communiquent entre elles", "formant d'une certaine manière une seule chose". 

"La Sacrée tradition transmet intégralement la parole de Dieu (....) De cette manière, a-t-il expliqué, l'Eglise puise sa certitude sur toutes les choses révélées pas seulement dans l'Ecriture Sainte. L'une comme l'autre doivent être acceptées et vénérées avec des sentiments semblables de piété et de respect", a-t-il dit, dans un discours qui révèle un pape très respectueux de l'autorité de l'Eglise.

Par: rédaction "7 sur 7 Be."
12/04/13 -  Source: Belga

1 commentaire:

  1. La tradition est virtuelle, sans garantie de véracité.
    Mais le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices;
    Car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés.
    C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m'as formé un corps; Tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché.
    Alors j'ai dit: Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi) Pour faire, ô Dieu, ta volonté.
    Après avoir dit d'abord: Tu n'as voulu et tu n'as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché (ce qu'on offre selon la loi) » » (Hébreux 10 : 3 à 8)

    DIEU a accepté que son fils spirituel JC s’offre en sacrifice afin de faire cesser les sacrifices d’animaux que DIEU ne reconnaissait pas pour absoudre le peuple juif de ses péchés.

    Mais, cette religion des césars romains, n’a pas tenu compte que le sacrifice de JC était dans un sens une fin et un commencement. Ils prirent en compte (Par tradition) « la continuité des sacrifices qu’ils renouvellent à chaque messe ».
    Autre « tradition hérétique ». La religion catholique perpétue l’eucharistie en la distribuant à tous au cours de la messe. En réalité pour la première fois, seuls Abraham et Melchisédek Grand Sacrificateur devant le tabernacle, firent le rituel du pain et du vin, qui était indispensable avant de faire un sacrifie important.
    La fois suivante, ce fut JC et ses apôtres parce qu’ils participaient avec JC, au rituel précédent le sacrifice de JC qui devenait ainsi, « Grand Sacrificateur devant l’Eternel ou il était aussi l’objet du sacrifice qui était ultime, parce qu’il supprimait les sacrifices d’animaux.
    Au XXIe siècle, cette religion catholique, ecclésiastique, apostolique et romaine, fait avaler l’hostie comme si elle était une parcelle de divinité à des ignorants encombrés de péchés. Qu’ont-ils de comparable avec ces hommes de DIEU, JC y compris. (Esaïe 7 : 13 à 15) (1 Corinthiens 15 : 20 à 28)

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